Ces dernières années, le nombre de personnes choisissant de cultiver leurs propres aliments, en particulier des avocats, dans leur jardin a considérablement augmenté. Cette augmentation du jardinage dans le jardin s’inscrit dans un mouvement plus large en faveur de la durabilité et de l’autosuffisance. Si l’idée de cultiver votre propre avocatier et d’en récolter les délicieux fruits vous intrigue, ce guide vous guidera à travers les étapes essentielles pour transformer vos aspirations écologiques en une réalité luxuriante.
Commencer par la graine
Votre voyage commence avec un noyau d’avocat, celui que vous jetez habituellement après avoir dégusté le fruit. Contrairement aux producteurs commerciaux qui ont accès à une pléthore de graines issues de leurs produits, vous commencerez probablement avec un noyau d’avocat que vous avez consommé. Ce qui est fascinant avec les graines d’avocat, c’est leur robustesse et leur caractère unique ; chaque graine a le potentiel de devenir un arbre qui produit une variété distincte d’avocat.
Préparation et plantation
Une fois que vous avez votre graine, la première étape consiste à la planter dans un environnement propice. Voici comment procéder :
Choisissez le bon contenant : un pot d’un gallon est idéal à cet effet. Il est suffisamment grand pour accueillir la croissance des graines tout en étant gérable en termes de taille et de besoins en eau.
Terreau et engrais : Remplissez le pot de terreau standard, conçu pour être meuble et bien drainé, offrant la texture parfaite pour que les jeunes racines puissent s’épanouir. Mélangez-y une cuillère à soupe d’engrais équilibré (6-6-6) pour nourrir les graines sans les surcharger.
Planter la graine : Les graines d’avocat ont un dessus et un dessous ; le dessous, où les racines vont émerger, a une légère entaille, souvent appelée le « nombril ». Placez la graine dans le sol avec le nombril vers le bas, en laissant environ un tiers de la graine exposée au-dessus du sol.
Arrosage : Le sol doit être maintenu humide mais pas gorgé d’eau. La fréquence d’arrosage dépendra du climat local, mais en règle générale, il est conseillé d’arroser tous les deux jours ou d’ajuster la fréquence en fonction du niveau d’humidité du sol.
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